sliding curtains made of weak flesh and bone
dripping in delight to curtail wide eyes
portraying hesitation as it dissipates
rapid flashing lights to take the place
the place of omens and noise
sanctuary in disguise
a distraction that depletes the energy
temporarily
pen the methods to manufacture yesterday
a loss of tongue to establish another masquerade
clocks beckon for sudden changes arising suddenly
although it seems it's just a foot sinking in molten rock
malice is foretold, yet splendour is in gold
stars of blistered feathers that erupt from further touch
glide under pitied trees. circumstance unravels again.
twists to be made that stretch, reining in the cattle.
so brightly it remains in limelight, fearing no dissonance
NONE a opéré un virage dans Where Life Should Be et ça se confirme davantage dans Damp Chill of Life. Le temps des métaphores est révolu : l'humidité froide, c'est celle des larmes qui coulent sur le visage à cause de la dépression. Tout pleure dans cet album : les guitares typées DSBM grésillent, les solos ("The Damp Chill of Life", "It's Painless To Let Go") sont liquides et coulent, les voix prennent à la gorge ; même le piano, étranglé par les sanglots ("Cease"), est aphone. Insoutenable... Jordan Vauvert
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert